Sortie dans les Cévennes les 20 et 21 septembre 2012

Cette année, le bureau de l'Amicale nous avait lancé un défi : partir à la découverte des Cévennes.
Rien ne fut laissé au hasard : le choix du bus "luxe et confort", le choix des restaurants  " goûteux et raffinés", le choix de l’hôtel " chaleureux".  Tout  avait été longuement réfléchi par Colette.
Ne restait plus qu'à savourer le spectacle inattendu étonnant et saisissant des sites et panoramas des Cévennes.

Le premier choc fut la découverte de l’exceptionnelle bambouseraie d’Anduze : un mélange de Laos (cases typiques en bambou, greniers à riz, autel des Génies) et de Japon (Vallée du Dragon, jardin végétal et minéral) et aussi les 150 variétés de bambous, séquoias centenaires, fleurs multicolores dans la serre…

Il nous restait à affronter la Corniche des Cévennes ; en effet, tous les "sensibles au mal des transports " étaient cramponnés à l'avant du bus.

Les autres admiraient courageusement les courbes, gorges profondes, vallées, torrents. Chaque virage fut un challenge, un risque, une découverte, puis ce furent les Gorges de la Jonte.

Enfin, niché au fond de la vallée, le village de Meyrueis nous apparut comme une promesse de refuge : douche, apéros, diner convivial et délicieux, discussions passionnantes et passionnées : enfin Jean Luc allait pouvoir refaire le monde (de Siemens… !).

Le lendemain, nouveau challenge : descendre à plus de 100m sous terre avec un funiculaire pour découvrir l'un des plus beaux joyaux de l'histoire de l'humanité, l’Aven Armand.

Au milieu de la forêt vierge de plus de 400 stalagmites uniques au monde qui brillent et scintillent comme des diamants, se démenait Jean Louis, prêt à tout pour capturer la photo imprenable.

Nos capacités d'endurance étant évidentes, la suite et fin de la découverte des Cévennes se poursuivit par l'épreuve du Chaos de Montpellier-le-Vieux sur le Causse Noir : frissons assurés : dans les roches aux formes biscornues se cachent des fortifications en ruines ou des personnages mythologiques. .. Le confort du petit train fut apprécié sous une fine bruine.

Alors, avec un petit pincement au cœur nous avons dit au revoir à notre guide-chauffeur avant le grand retour sur Toulouse..

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